![]() | Le vent d'été à l'infini valse valse valse
Et les jupons fleuris des montagnes virevoltent légers sans se lasser... |
Vertige... vertige... du coeur qui danse léger comme un pétale
puis
doucement
se pose
ici... ou là...
|
![]() | Le vent d'été à l'infini valse valse valse
Et les jupons fleuris des montagnes virevoltent légers sans se lasser... |
Vertige... vertige... du coeur qui danse léger comme un pétale
puis
doucement
se pose
ici... ou là...
|
Parce que les oiseaux s'emmêlent les pinceaux dans les nuages
Et que les cris du vent s'apaisent dans les arbres
Et que le jour s'éploie devant un papillon
Parce que tes pupilles reflètent l'infini
Que tu tires l'eau de la boue
Et que tu es debout dans le concert des galaxies
Parce que la source s'insinue doucement dans ton souvenir
Parce que tu te griffes aux portes de la lumière
Et que les écureuils bondissent sur tes mots
Parce que les galets roulent leur musique sous tes pas
Parce que ton sourire fait s'ouvrir les murailles
Et parce que les arbres s'envoleront le jour dit
Simple pollen d'éternité
Tu es
Plus de vert que jamais
De chants d'oiseaux que jamais
Dans mes veines coulent des forêts
Au creux de l'humus
Il y a des ailes qui palpitent
Et battent
Dans un frémissement
De voyelles
Alors
Jaillit le mot
Partagé entre la lumière
Et le vertige
De son premier envol
Notre blog |
Deux voix, deux coeurs, deux couleurs, un zeste de poésie, d'humour et de complicité |